Comment bien choisir les composants de votre PC

Vous avez décidé de monter votre ordinateur par vous même, félicitations, vraiment. Lorsque j’ai monté mon premier PC en 96 j’étais vraiment inquiet.

Choisir ses composants PC c’est vraiment un casse-tête.

En effet, prendre la bonne combinaison de processeur, carte mère et carte graphique est devenu un travail d’expert, tout en étant fondamental. Est ce que je choisis Intel, est ce que je prends AMD, est ce que tout sera compatible ?

Bref ce n’est pas simple.

Sur cette page, vous trouverez des informations pour bien choisir vos composants et sur le site de PC Spécialist, vous trouverez tout ce dont vous avez besoin sans avoir à vous poser la questions de ce qui est compatible ou pas.

Ce n’est pas tout, je vous ai préparé une formation complète et gratuite pour apprendre à monter votre PC par vous même.

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Le processeur, la carte mère, la carte graphique

Si pour certain le choix d’un processeur est à la base de tout, il ne faut pas négliger celui de la carte mère qui conditionne l’équipement global d’une configuration.

Compte tenu de la complexité de choisir l’un et l’autre, sachant qu’ils doivent être compatibles entre eux malgré de multiples critères techniques (socket, chipset…), nous préférons vous rediriger vers « PC Specialist » qui vous proposera des combinaisons toutes compatibles.

Sachez également que les cartes mères sont livrées avec les accessoires nécessaire au montage d’un PC, comme la plaque de finition en alu qui se place dans le boitier et les nappes SATA nécessaires au montage d’au moins un ou deux disques durs/SSD.

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La mémoire vire

La mémoire vive, également baptisée RAM (Random Access Memory), est un autre composant clé du bon fonctionnement de votre PC.

Il y a plusieurs critères de choix, mais, au final, on se rend compte que c’est avant tout et surtout la quantité qui compte. Un PC qui n’a pas suffisamment de mémoire ralentit nettement, il rame.

Pour un PC moderne, 8 Go devient le minimum pour lancer et utiliser Windows, mais dès qu’on en veut plus, la mémoire est saturée. Il vaut mieux considérer 16 Go comme la valeur idéale d’un PC de travail ou même de jeu.

Si vous êtes du genre à multiplier les onglets dans votre navigateur Web et aimer lancer pleins de programmes à la fois (Ceux qui prennent de la mémoire, comme les jeux ou Photoshop, mais aussi les petits comme Skype ou Dropbox), vous serez plus à l’aise avec 16 Go, d’autant que l’écart de prix est assez faible.

En revanche, pour la majorité des personnes, il ne sert à rien de monter au delà. Seuls quelques usages créatifs, comme la retouche de très grosses images, la vidéo professionnelle ou encore la modélisation 3D, sont capables de saturer plus que 16 Go.

En ce qui concerne les critères techniques, il faut bien sur acheter des barrettes qui soient compatibles avec votre carte mère. Vous trouverez ci-dessous, 3 vidéos qui vous aideront à bien la choisir.

Il existe également une notion de fréquence (ex :DDR5-4800, DDR5-5600…) et de timings (CL40, CL36…) qui ont un impact sur le prix et sur les performances, mais c’est relativement négligeable et ne vous souciez même pas des timings.

Un point important à noter : Sachez que certaines barrettes de mémoire sont plus hautes que d’autres, ce qui peut être un critère à surveiller selon le système de refroidissement que vous installez sur votre processeur pour éviter toute incompatibilité (Que les barrettes ne vous empêchent pas d’installer votre refroidissement : C’est surtout valable pour les refroidissement à air avec de gros radiateurs et ventilateurs).

Pour des performances optimales, vous achèterez et vous installerez les barrettes de RAM par pair (deux par deux), mais ça n’a rien d’obligatoire.

Si vous trouvez une meilleure affaire sur une barrette unique ou encore si votre carte mère n’a que deux emplacement mémoire et que vous souhaitez en garder un libre pour l’avenir, la mémoire fonctionne aussi en installant les modules à l’unité.

Si jamais l’éclairage par LED est votre dada, sachez qu’il existe également des barrettes de mémoire RGB !

Composant - SSD - M2

Les SSD au format M2

Depuis une dizaine d’année, le SSD remplace peu à peu le disque dur pour notre plus grand bonheur : rapidité, silence, consommation, il a tout pour plaire et son plus gros défaut, le prix, est de moins en moins un problème.

Aujourd’hui ce n’est plus un luxe d’avoir un PC 100% SSD dans de nombreux cas de figure. Tout dépend bien sûr de vos besoins.

Les SSD sont devenus très abordables jusqu’aux modèles 1 To, voire 2 To. Pour vous donner un ordre idée, un PC de travail dédié à la bureautique et Internet se contente sans difficulté de 500 Go pour recevoir Windows et vos applications favorites.

Pour installer de gros programmes, un jeu de temps à autre, un SSD autour de 1 To est adapté.

Les gamers auront en revanche intérêt à viser 2 To tout de suite car les titres modernes occupant entre 30 et 100 Go, l’espace part assez vite.

Maintenant avec la démocratisation des prix des SSD, vous pouvez même les utiliser si vous avez de plus gros besoin en matière de stockage.

S’il s’agit de stocker une collection de milliers de photos et films, des fichiers pour lesquelles la vitesse d’accès n’est pas le critère numéro un, vous pouvez choisir de les placer sur un NAS, c’est à dire une sorte de disque dur mais en réseau.

Sachez qu’il n’y a aucune difficulté à installer un ou plusieurs SSD et un ou plusieurs disques durs dans le même PC.

Attention cependant si vous souhaitez privilégier le silence, c’est disque durs sont assez bruyant, alors que les SSD sont quasiment inaudibles.

Les SSD existent sous plusieurs formats physiques et adoptent plusieurs méthodes pour échanger les données avec la carte mère. Comment s’y retrouver ?

On trouve des SSD au format 2,5’’, à visser dans un emplacement du même nom, qui se branchent sur une prise SATA comme les disques durs.

Mais si ceux-ci sont encore nombreux et adaptés à l’upgrade des PC d’un certain âge, ils sont de plus en plus souvent abandonné au profit des SSD au format M.2.

Le format M.2. est une toute petite carte électronique qui vient s’installer directement sur la carte mère, un peu comme on installe une barrette de mémoire sur un pc portable.

Si la raison d’être de ce format est avant tout de réduire le gabarit et le poids des PC portables, il a séduit les fans de PC assemblés soucieux d’améliorer l’esthétique de leur machine en évitant deux câbles : la nappe SATA et le cordon d’alimentation.

A propos de ‘’connectique’’ et bien qu’il n’y ai pas de fil à la patte d’un SSD M.2, on distingue quand même deux types différents, les SSD M.2 SATA et les SSD M.2 PCIe NVMe.

Sans entrer dans des considérations techniques compliquées, ce sont deux modes de communication entre le SSD et la carte mère, les PCIe NVMe étant globalement plus rapides que les SATA.

Mais il ne faut pas se fier aux chiffres aveuglément, car en pratique, on ne constate quasiment que assez peu d’écart de performances entre les divers SSD.

Pour en revenir à une considération purement pécuniaire : a budget égale, si vous hésitez entre payer un SSD rapide mais de petite capacité que vous compléterez avec un disque dur ou un seul gros SSD mais un peu plus lent, il faut sans hésiter choisir le gros SSD un peu plus lent et tout mettre dessus !

S’il est courant qu’une carte mère offre 4 ou 6 ports SATA, il y a moins de ports M.2. Les cartes mères d’entrée de gamme n’en ont qu’un et les modèles de milieu de gamme que deux.

Cependant vous pouvez bien sur cumuler des SSD M.2 et 2,5’’. Par exemple installer un M.2 neuf dans le PC que vous montez tout en recyclant votre ancien SSD 2,5’’ en SSD secondaire pour avoir plus de capacité.

On termine par un mot sur l’endurance qui, si elle a pu être un problème au début de la décennie précédente quand le SSD était encore une nouvelle technologie, elle n’en est plus un aujourd’hui.

Sachez que les SSD sont principalement constitué de mémoire flash, comme les cartes mémoires de nos smartphones et autres appareils photo, c’est un type de mémoire qui a un nombre limité de cycles d’écriture.

Cela signifie que si on passe son temps à écrire des données au même endroit (sur la même cellule) de son SSD, elle finit par mourir et ne plus être utilisable.

Les SSD ont diverses astuces pour prolonger au maximum la durée de vie et, sauf cas exceptionnel, ils n’ont plus grand chose à envier aux disques durs.

Si vous observez la fiche technique d’un SSD, vous constaterez, en plus de la durée de garantie, une quantité de donnée que vous pourrez écrire dessus que vous assure le constructeur. Elle s’exprime en TBW, c’est à dire en téraoctets écrits.

Si on divise cette capacité par la durée de la garantie, on s’aperçoit que les SSD modernes, même en entrée de gamme, peuvent écrire plusieurs centaines de To par jour.

Pour vous donner une idée, un PC sur lequel on surf et où on télécharge un peu écrit rarement plus de 15 Go par jour en moyenne !

Si vous avez un doute, vous pourrez prendre un disque dur, comme nous vous le conseillons dans la section suivante.

Composant - Disque dur

Les disques durs

Aujourd’hui pour votre configuration, nous vous recommandons de passer sur des SSD si votre budget vous le permet et que la taille maximum vous convient.

Ils vous apporteront rapidité, fiabilité, confort et silence.

Le disque dur s’efface au profit du SSD au fil du temps. Pour autant, quand il s’agit de stocker de grandes quantités de données, son rapport qualité/prix au Mo reste imbattable.

Tandis que les SSD les plus abordables sont autour de 6 centimes le Megaoctet, les disques durs tombent à moins de 2 centimes pour la même capacité !

Mais alors, qui à besoin d’un disque dur et quel modèle choisir ?

Vous avez tout intérêt à installer Windows et les logiciels et jeux sur le SSD, bien plus véloce que le disque dur.

Le disque dur est particulièrement intéressant pour stocker des données auxquelles on accède peu et pour lesquelles la vitesse n’est pas un critère. Typiquement vos archives de photos et votre collection de films, Ou encore les sources d’installation de vos programmes (le fichier ISO de Windows par exemple).

Le disque dur est également un allié de choix pour réaliser un backup de vos documents personnels, même si les originaux sont stockés à même votre SSD.

Les disques durs existent en deux formats physiques (2.5″ et 3.5″). Pour nos PC assemblés, et pour payer moins cher, on favorise les disques durs 3,5”. Mais il existe aussi des disques 2,5” plus compacts, qui sont aussi utilisés dans nos PC portables (de moins ne moins avec les SSD 2.5″ et M.2.).

Il n’y a guère de critère technique à prendre en considération au moment de choisir.

Il est vrai que certains disques durs sont plus performants que d’autres, notamment car leurs plateaux tournent plus vites (7200 tpm au lieu de 5400 tpm) ou qu’ils ont plus de mémoire cache, mais on va plutôt s’intéresser aux gammes, qui sont là pour répondre à des besoins.

Pourvu qu’il soit fabriqué par un des grands noms du secteur comme Seagate, Western Digital ou Toshiba, il n’y a pas de mauvais disque dur.

Les moins chers sont parfaitement adaptés à une installation dans votre PC ou encore branchés en externe via un boîtier ou un dock.

On trouve aussi, un peu plus chers à capacité identique, des disques durs optimisés pour les NAS et le stockage en RAID. Ceux-ci méritent l’investissement si vous en installez plusieurs d’un coup (en RAID), que ce soit dans votre PC ou dans un NAS branché sur le réseau, car ils ont des fonctionnalités avancées qui profitent à l’usage groupé. De plus, ils sont conçus pour tourner 7/7 et 24/24. Mais à l’unité dans votre PC, en complément d’un SSD, ils n’apportent pas grand chose.

Enfin, bien que les disques durs optimisés pour la performance aient quasiment disparus au profit des SSD, il en existe encore quelques uns pour répondre aux besoins particuliers qu’ont certaines personnes qui travaillent sur de très gros fichiers.

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Le refroidissement du processeur

Vous n’êtes pas sans savoir que le processeur, composant central du PC, chauffe beaucoup. La chaleur qu’il dégage nécessite impérativement un système de refroidissement.

La grande majorité des processeurs sont d’ailleurs vendu accompagné d’un ventirad (contraction de radiateur + ventilateur).

Cependant, s’il permet de faire des économies, le ventirad d’origine fourni par AMD ou Intel n’est vraiment pas terrible.

En résumé, ces ventirads basiques sont bruyants, parfois même très bruyants et plus le processeur est puissant, plus c’est vrai.

Vous aurez donc tout intérêt à consacrer une petite partie de votre budget à l’achat d’un refroidissement CPU de meilleur qualité, qui sera à la fois capable de mieux refroidir le processeur tout en étant nettement plus silencieux… voire inaudible dans de nombreux cas.

Les refroidissements pour processeurs se classent dans deux catégories principales :

  • Le refroidissement à air (ventirad, à savoir qu’un radiateur est toujours vendu avec au moins un ventilateur)
  • Le refroidissement à eau (watercooling).

En règle générale, le refroidissement à air est plus économique et sa simplicité de conception le rend particulièrement fiable puisque seul le ventilateur peut éventuellement tomber en panne.

Le refroidissement à eau est un peu plus complexe, mais il est encore aussi plus efficace et il libère la carte mère car seul un petit composant (waterbloc avec pompe) recouvre le processeur, le radiateur étant déporté sur le dessus ou le devant du boîtier.

Vous pourrez donc accéder plus facilement à vos barrettes de mémoires et autres branchements.

Précisons que les refroidissement liquides que nous vous  recommandons d’utiliser sont des kits tout-en-un, c’est à dire un ensemble fermé et déjà chargé en liquide de refroidissement, il n’y aucune intervention compliqué ni d’installation, ni de maintenance.

Choisir un ventirad plus onéreux que le modèle de base offre à la fois un gain en silence (au repos, vous ne l’entendrez même pas tourner) et en esthétique (certains ont même des LED RGB).

L’encombrement physique d’un système de refroidissement CPU est également un point à considérer. On parle principalement de la hauteur d’un ventirad (pour pas qu’il ne vienne cogner contre la porte latérale), ou encore de son épaisseur (pour pas qu’il gêne la mémoire vive).

Mais dans le cas des watercooling, le critère tient à la taille du radiateur, il en existe de nombreuses tailles multiples de 120 ou 140 mm.

Enfin, nous vous rappelons qu’il faut obligatoirement étaler un peu de pâte thermique sur le processeur pour améliorer l’échange de chaleur vers le radiateur.

Tous les ventirads et watercooling tout-en-un sont livrés soit avec un petit tube de pâte ou  avec une dose pré appliquée.

L’achat d’un tube de pâte thermique séparé n’est nécessaire qu’en cas de démontage/remontage.

Composant - Ventilateur de PC

Les ventilateurs

Dans un PC, les deux composants qui chauffent le plus sont le processeur (nous venons de traiter ce sujet spécifique dans le bloc précédent) et la carte graphique lorsqu’il y en a une. Cependant, celle-ci s’accompagne toujours d’un système de refroidissement adapté.

En revanche, il est recommandé d’installer également une ventilation dans le boîtier pour aider à renouveler l’air qui s’y trouve, c’est à dire assurer un apport en air frais et extraire l’air chaud.

Un ventilateur, généralement placé en extraction en haut et à l’arrière du boîtier suffit pour les configurations les plus modestes, mais il peut être intéressant d’en ajouter un ou deux de plus, par exemple en façade pour forcer l’aspiration d’air frais, dans les machines plus puissante, celles de jeu en particulier.

De nombreux boîtiers sont livrés avec un ou plusieurs ventilateurs. En particulier les moins onéreux, contrairement à ce qu’on pourrait penser.

Si ceux-ci vous satisfont, il n’est pas obligatoire de passer par l’achat de ventilateurs supplémentaires. Cependant si vous les trouvez trop bruyant, ce qui est généralement le cas ou que vous désirez embellir votre configuration avec des ventilateurs éclairés par des LED RGB.

Ils pourront aussi remplacer ceux de votre ventirad CPU ou du watercooling tout-en-un (sur la partie refroidissement).

Il existe plusieurs tailles de ventilateurs. Dans l’immense majorité des cas, on utilise dans les boîtiers des modèles de 120 mm ou 140 mm de diamètre, d’épaisseur standard (25 mm).

On distingue deux types de branchements, le plus anciens via une prise à 3 broches qu’on appel généralement DC et qui s’oppose aux ventilateurs à 4 broches de type PWM.

La différence se situe dans la manière de réguler leur vitesse car, dans un PC, ils s’adaptent aux besoin pour maximiser le silence tant qu’il n’y a pas trop de chaleur.

Les cartes mères modernes sont capable de réguler tant les ventilateurs DC que PWM, mais la gestion PWM est un peu plus performante.

Boitier Phantecs

Le boitier

Information importante : Lorsque vous choisissez votre boitier, assurez vous qu’il est capable d’accueillir une solution de Watercooling si votre choix c’est porté sur ce type de refroidissement.

Tandis que pour certains le boîtier n’est qu’un ensemble de tôles sans intérêt mais obligatoire pour assembler un PC, il est pour d’autres un précieux écrin qui sert à mettre en valeur le reste des composants, ce qui explique qu’il y ait tellement de références et des écarts de prix très importants pour ce produit.

Quelque soit votre appréciation du boîtier, il doit avant tout répondre à certaines exigences techniques :

  • Etre du bon format
  • Assez grand pour recevoir votre configuration
  • Etre à même de la ventiler correctement.

Pour ce qui est du format, on s’intéresse en premier lieux à la compatibilité avec la carte mère.

Il existe de multiples formats, les plus courants étant le microATX et ATX qui est un peu plus grand.

Mais même au sein des boîtiers ATX, il y en a de plus ou moins gros.

Il y a d’autres considérations de gabarit à surveiller, comme l’épaisseur disponible pour le ventirad du processeur, la compatibilité avec les systèmes de watercooling tout-en-un (place pour les radiateurs de ceux-ci), la profondeur disponible pour la carte graphique ou encore l’espace libre pour l’alimentation électrique.

Un dernier point que vous pourrez surveiller, sera la capacité du boîtier, concernant le stockage (disques durs, ssd).

Si les boîtiers modernes ont généralement de multiples emplacements 2,5” pour les SSD (qui, en plus, adoptent désormais le format M.2 directement branché sur la carte mère), les baies 3,5” pour disques durs sont désormais moins nombreuses, on en compte généralement que 2 ou 3.

De même, les baies 5,25” en façade pour loger un lecteur/graveur de CD/DVD ont disparu sur la majorité des boîtiers, faites donc bien attention si vous en souhaitez au moins une. Bon à savoir : vous pouvez remplacer votre vieux graveur par un modèle externe USB à petit prix.

On termine par un dernier point à surveiller, les prises en façade.

Si a peu près tous les boîtiers ont de l’USB 2.0 et un mini Jack pour brancher un casque, d’autres ont quatre prises USB voire une prise USB de Type-C ce qui peut s’avérer pratique.

Ne vous souciez pas de la visserie nécessaire au montage du boîtier, elle est systématiquement fournie avec un boîtier neuf.

Une fois les notions de capacité prises en compte, le reste du choix se porte essentiellement sur l’esthétique et les aptitudes de refroidissement du PC. Et si nous en parlons au même moment, c’est qu’elles sont assez liées.

De plus en plus de boîtiers ont un panneau latéral avec une fenêtre en plexiglas transparent voire une porte en verre trempé afin de laisser apparaître les composants électronique qu’on y installe.

C’est un bonus sympa pour ceux qui ont justement opté pour une belle carte mère et/ou des ventilateurs RGB et qui souhaitent en profiter.

Pour ceux qui n’en ont que faire, ceux chez qui le boîtier sera caché sous un bureau et invisible, le critère de l’esthétique n’a que peu d’importance.

De nombreux boîtiers existent dans les deux déclinaisons, avec ou sans porte transparente. On trouve même des boîtiers tous transparents !

Pour ce qui est du refroidissement, il est important que l’air chaud d’un boîtier soit efficacement remplacé par de l’air frais en provenance de l’extérieur.

Le lien avec l’esthétique se trouve là : un boîtier avec une façade pleine (en verre, en métal…) sera forcément moins à même de laisser entrer l’air qu’un boîtier équipé d’une grande grille.

Nous ne sommes pas en train de dire qu’il faut choisir entre silence et esthétique, simplement si vous monter un PC puissant (grosse configuration de travail et surtout de jeu) dans un boîtier tout en verre, vous devrez probablement ajouter deux ou trois ventilateurs pour compenser une ventilation un peu juste.

Note : il vaut mieux avoir plusieurs ventilateurs à basse vitesse qu’un ou deux qui tournent à fond, tant pour l’efficacité du refroidissement que pour limiter le bruit ! Dans les boîtiers bon marché, il y a généralement au moins 1 ou 2 ventilateur de boîtier pré-installés. Bien que ce ne soit généralement pas les plus silencieux, ils sont suffisants d’un point de vue aération.

Si vous en voulez plus, ou si vous optez pour un boîtier plus haut de gamme qui, en général, est livré sans ventilateur.

Qu’est-ce qui justifie des écarts de prix allant du simple au décuple (et même plus) ?

Les boîtiers haut de gamme emploient des matériaux généralement plus nobles. Par exemple de l’aluminium brossé plus léger et plus esthétique que la tôle de base. Ou encore du verre trempé plutôt que du plexi. Ils sont aussi plus agréables à monter et dispose de plus d’espace pour dissimuler les câbles disgracieux par exemple.

On y trouve aussi des astuces pratiques comme les portes montées sur charnières pour faciliter l’accès à l’intérieur.

Bref, le choix de votre boitier se fera en fonction de vos goûts, mais n’oubliez pas de suivre nos conseils.

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L’alimentation électrique

L’alimentation fait parti de ces composants plutôt abstraits. On en achète une parce que c’est nécessaire, mais c’est rarement un plaisir.

Il existe pourtant de très nombreuses références et de multiples gammes de prix, alors comment s’y retrouver ?

Le premier critère de choix est la puissance, il faut viser juste. Avec une alimentation trop juste, le PC risque de planter, et d’être bruyant car le ventilateur de l’alimentation tournera à fond.

Il n’y a aucun risque en revanche à prendre une alimentation trop puissante , si ce n’est de la payer un peu trop cher pour rien.

Important : Une alimentation ne consomme pas en permanence la valeur indiquée sur son étiquette ! Il s’agit d’un maximum qui n’est, heureusement, jamais atteint. Si votre PC consomme 300 W à fond, il consomme 300 W que vous lui ayez adjoint une alimentation de 450 W ou de 850 W.

Un PC peu puissant, à des besoins très modestes, si bien que les alimentations les moins puissantes du marché suffisent (400 ou 450 W).

Pour un PC de jeu d’entrée de gamme, il vaut mieux viser 400 ou 450 W, et sachant qu’il n’y a quasiment pas d’écart de tarif, nous recommandons une 450 W pour tous comme premier choix.

Avec une carte graphique plus puissante, les besoins évoluent de façon significative en ce moment.

Les GeForce RTX 40 (4070, 4070 Ti, 4080, 4090) inaugurent le nouveau connecteur électrique ATX12VHPWR qui fournit suffisamment de puissance au travers d’une seule prise (plus besoin d’avoir plusieurs câble vers la carte graphique).

La majorité des GeForce RTX 40 l’utilisent, certaines conservant encore l’ancien connecteur. Les nouvelles alimentations répondant à la norme PCIe 5.0 commencent à proposer ce connecteur.

Les plus grandes marques d’alimentation (telles que Corsair, Seasonic, be quiet!…) ont sorti de nouveaux câbles ATX12VHPWR pour certaines de leurs anciennes alimentations modulaires (compter une vingtaine d’euros environ).

Bon à savoir : Les cartes graphiques utilisant ce nouveau connecteur sont toutes livrées avec un adaptateur permettant de transformer 2 ou 3 prises PCIe 8 pins en une prise ATX12VHPWR, ce qui signifie que nous n’avez pas forcément besoin de remplacer votre alimentation au moment de changer de GPU du moment qu’elle est suffisamment puissante.

Voici les recommandations Nvidia au sujet de ces cartes (précisons que ces cartes graphiques ne consomment pas autant, c’est une valeur indiquée pour alimenter tout le PC et avoir une marge de sécurité) :

  • GeForce RTX 4070 : 650 W
  • GeForce RTX 4070 Ti : 700 W
  • GeForce RTX 4080 : 750 W
  • GeForce RTX 4090 : 850 W

Enfin, pour nos PC les plus puissants, tel que celui dédié à l’encodage et au rendu 3D ou les plus grosses machines de jeu, il vaut mieux partir sur 850 W.

Vous avez déjà entendu parlé de cela, mais il existe une notion de rendement, ce qui signifie qu’à besoins identiques, certains modèles haut de gamme consomment un peu moins que d’autres (leurs composants sont plus efficaces). Le label 80plus qu’on trouve sur quasiment toutes les alimentations aide à s’y retrouver.

Dans l’ordre on a :

  • 80plus
  • 80plus Bronze
  • 80plus SIlver
  • 80plus Gold
  • 80plus Platinum
  • 80plus Titanium

S’il est satisfaisant d’opter pour un modèle de meilleur rendement, la petite différence de consommation que vous remarquerez sur la facture d’électricité ne permettra pas forcément de compenser l’écart de prix d’achat, du moins avant des années.

Sachez qu’il est important d’acheter une alimentation de marque pour des questions de sécurité.

Notamment d’acheter un modèle qui respecte les normes européennes en matière d’électricité.

Les alimentations de marque, plus on monte en prix plus c’est vrai. Elles sont aussi plus silencieuses.

D’ailleurs, il n’est pas rare aujourd’hui de tomber sur des modèles dits “semi-fanless”, c’est à dire dont le ventilateur reste éteint jusqu’à 20 ou 30 % de charge pour ne se déclencher qu’au delà.

C’est idéal, car çà se traduit en pratique par une alimentation inaudible pour les usages du quotidien (bureautique, surf sur Internet), son ventilateur n’entrant en marche que pendant un jeu vidéo par exemple, au même moment où accélèrent ceux du CPU et de la carte graphique.

Si vous avez des besoins atypiques, par exemple pour brancher de multiples disques durs ou encore deux cartes graphiques, il est prudent de s’intéresser aux nombre de prises disponibles sur l’alimentation.

Si les fils sont fixés sur les alimentations les moins chères, il sont amovibles sur les modèles de milieu et de haut de gamme, on parle alors d’alimentations modulaires, cela permet de simplifier le montage du PC tout en favorisant l’aération puisque les câbles inutilisés restent dans la boîte.

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Les moniteurs (écrans)

Plus complexe qu’il n’y paraît, le choix d’un écran repose sur de nombreux critères d’achats au rang desquels on peut en isoler au moins quatre que l’on peut qualifier de principaux, c’est à dire des critères qui influent sur l’usage même de l’écran :

  • Sa taille (diagonale exprimée en pouces),
  • Sa définition en pixels (ce qu’on appel communément la résolution)
  • Son format plus ou moins large
  • Son type de dalle qui influe sur la qualité d’affichage (contraste, angles de vision, réactivité).

En croisant ces quatre critères, sans oublier les autres (taux de rafraîchissement, connectique…), il est possible de retenir des dizaines de modèles, mais ça irait à l’encontre de l’essence même de cette page qui est là pour vous simplifier la vie.

Nous avons donc décidé d’un certains nombres de catégories, en regroupant les écrans par leur taille car c’est généralement le premier choix qu’on fait, pour aboutir à neuf références que nous pensons être représentatifs de la majorité de vos besoins.

La taille justement, il n’y a pas vraiment lieu de s’y attarder, vous avez probablement une certaine expérience avec votre écran actuel et votre TV en guise de comparaison.

Les écrans de 21 et 22 pouces ont presque disparus du marché, on trouve principalement désormais des écrans de 23 et 24 pouces en bas de l’échelle.

Aujourd’hui, le gros des ventes est réalisé par les 27”, mais les modèles de 32” n’étant plus un luxe financier, il s’en vend de plus en plus. A savoir qu’on trouve quelques très grands écrans, des 40 et 43” notamment, et même jusqu’à 49” en ultra large.

Le choix de la taille dépend un peu du prix, mais avant tout de votre désir et de la place dont vous disposez.

A force de conseiller des gens, on se rend compte que beaucoup n’osent pas franchir le cap d’une taille supplémentaire tandis que ceux qui l’ont fait ne regrette que rarement leur choix.

Les adeptes de multi-écrans (bi-écran, tri-écran) ont en revanche intérêt à se méfier, car point trop n’en faut. En tri-écran notamment, 3 x 27 pouces semble un maximum au delà duquel il faut trop tourner la tête pour profiter des extérieurs.

Vient ensuite le choix du format de l’écran. L’immense majorité est actuellement en 16:9, comme les TV, ce qu’on appel communément « écran large » par opposition au vieux format 4:3 en vigueur jusqu’au début des années 2000.

Techniquement parlant, quand on dit 16:9, ça signifie que la largeur de la dalle correspond à 16 unités en largeur contre 9 en hauteur, par exemple, si la hauteur est de 15 cm, sa largeur est de (15/9) x 16= 26,6 cm.

Il existe quelques écrans un peu moins larges, en 16:10, mais ils sont peu nombreux, bien que ce soit plutôt agréable pour travailler (plus il y a de pixels en hauteur, moins on à besoin de défiler un document ou une page Web).

A l’opposé, on trouve aujourd’hui de nombreux écrans ultra larges en 21:9 et même depuis peu des super ultra larges en 32/9 (c’est à dire 2 écrans 16:9 côte à côte, littéralement) !

Ces écrans sont assez séduisants pour les joueurs car ils renforcent l’immersion, la plupart des jeux étant plus agréable à jouer à l’horizontal. 

Pour travailler, si la définition est assez élevée pour ne pas passer sa vie à défiler, on peut plus facilement loger deux fenêtres côte à côte (ce qui est très agréable).

En revanche pour les vidéos, sachant que la majorité de la production est en 16/9, vous aurez du coup des bandes noires sur les côtés. A moins de regarder principalement des films au format cinéma (2:35) très étiré, ce qui s’adapte assez bien au format 21:9.

En résumé : le gros de la production est en 16:9 et c’est très bien, mais n’hésitez pas à vous intéresser au 21:9, surtout si vous êtes adepte des jeux vidéo.

Troisième choix majeur, la définition de l’écran.

Généralement baptisée, à tord, résolution (même dans les réglages de Windows), il s’agit du nombre de pixels qui caractérise un écran.

Les résolutions s’expriment en nombre de pixels horizontaux par le nombre de pixels verticaux, mais les plus courantes ont également un nom ou une abréviation de nom. Par exemple, la résolution la plus utilisée depuis des années est 1920×1080, qu’on appel aussi Full HD.

Au passage, si on divise 1920 par 16 et qu’on le multiplie 9, on tombe bien sur 1080 (16/9), ce qui montre qu’une définition est aussi la résultante du format choisi.

En restant sur le gros du marché, à savoir le 16:9 justement, il y a aujourd’hui trois résolutions en vente :

  • 1920 x 1080 (Full HD)
  • 2560 x 1440 (WQHD)
  • 3840 x 2160 (Ultra HD, aka 4K)

Comment choisir ?

D’un point de vue qualité, plus la définition augmente, meilleure est l’image qui semble plus détaillée : ceci à condition que la source qu’on affiche, par exemple un film, soit filmé dans la même définition sinon ça n’apporte rien.

Les jeux, calculés avec plus de détails, sont plus beaux.

D’un point de vue du plan de travail (sur l’ordinateur), on affiche plus de chose, il y a donc moins à défiler sur une page Web ou dans un document Word et, dans les gros logiciels comme Photoshop ou Première, ça permet d’afficher toutes les palettes d’outils pour gagner en productivité.

A première vue, une définition plus élevée est donc meilleure, mais ça n’est pas sans conséquences. A taille d’écran identique, un écran plus défini semble afficher tous en plus petit or il ne faudrait pas se créer des problèmes de vue !

Heureusement, Windows 10 dispose d’un mode de zoom pour palier à ça.

A l’inverse, prendre une résolution trop petite, comme Full HD, sur un très grand écran tel un 32” provoque une sensation de baisse de qualité, il y a trop d’espace entre chaque pixel et ça finit par se remarquer.

Pour le joueur, plus la définition est élevée, plus il y a de pixels à animer, plus il faut un PC puissant (et donc cher) ! Jouer en 4K est à peine fluide avec la carte graphique la plus haut de gamme du marché sur certains titres !

En résumé, il faut adapter la résolution à la dimension de l’écran et à ses besoins. Aujourd’hui, le 2560×1440 qui est la résolution intermédiaire est pour beaucoup le meilleur choix, le meilleur compromis qualité d’affichage/lisibilité/fluidité.

On précise enfin que les résolution des écrans plus larges sont dérivées des résolutions standard. Par exemple, en 21:9 on a le choix entre 2560×1080 (1920×1080 plus large) et 3440×1440 (2560×1440 plus large).

Comme si le choix d’un écran n’était déjà pas suffisamment complexe jusqu’ici, il est important de vérifier le type de dalle qu’il embarque.

Sachez qu’il existe maintenant des écrans Oled, en plus de ceux dont nous allons vous parler ici, mais ils sont souvent très cher. Cependant la qualité est top. Dans notre comparatif, pour rester dans de bons rapport qualité prix, nous avons écarté cette technologie, mais si vous avez le budget, ce sont de pure bijoux.

Donc ici nous allons parler des écrans LCD. Il y a trois familles de dalles LCD

  • TN
  • IPS
  • VA

Pour résumer très grossièrement, les TN sont les plus réactives (idéal pour jouer), les IPS celles qui offrent les meilleures couleurs (souvent choisi en retouche photo) et les VA proposent un bien meilleur contraste (le top pour la vidéo, ou les photos sombres/claires).

Les plus exigeants viseront des écrans HDR, c’est la même chose que pour les TV ; mais entre nous, pour un usage PC, ce n’est pas franchement indispensable.

Vous pensiez qu’on en avait fini ? Pas tout à fait !

Quand vous allez choisir votre prochain écran, assurez vous qu’il dispose d’une connectique que vous avez : les écrans modernes ont tous du HDMI, et ils sont très nombreux à offrir du Display Port.

Pour les anciennes prises DVI, on en trouve qu’en entrée de gamme et l’antique VGA a définitivement disparu.

Surveillez aussi, si c’est important pour vous, les réglages proposés par le pied. Les écrans les moins chers n’ont généralement qu’un réglage en hauteur tandis que les plus onéreux permettent aussi de régler l’inclinaison, la rotation et parfois un mode portrait.

Si vous souhaitez accrocher votre écran au mur, vérifiez qu’il soit compatible avec la norme VESA (c’est très courant, mais pas systématique).

Si vous êtes fan de multi-écrans, privilégiez les modèles avec des bordures ultra fines.

On termine par un dernier point : quand on voit des TV 4K à 500 €, la tentation est grande. Peut-on utiliser une TV comme écran de PC ?

Globalement oui, même si la qualité d’affichage sera légèrement en retrait.

Pour travailler ce n’est pas recommandé, surtout en retouche photo. Pour un usage vidéo, c’est très bon au contraire. Pour les jeux, c’est plutôt bon aussi, à condition qu’elles embarquent un mode jeu (c’est devenu quasiment systématique) pour éviter le phénomène d’input lag (c’est à dire que le temps de traitement de l’image ajoute quelques dizaines de ms, ce qui est gênant pour jouer).

Vous l’avez compris, choisir un écran n’est pas simple, mais grâce à notre sélection, vous ne ferez pas d’erreur.

Si vous cherchez un écran pour jouer, vous trouverez sur ce site, un guide complet sur les écran 144Hz

Clavier Logitech

Les claviers

Le clavier étant, avec la souris, le premier élément par le biais duquel on communique avec le PC, il est très important d’en avoir un de bonne qualité et à son goût.

Malgré quelques écarts de prix importants, on peut difficilement se tromper. Pourquoi ?

Car dès qu’on opte pour une marque reconnue, on peut être a peu près certain d’un niveau de qualité minimum satisfaisant.

S’il y a quelques claviers honteux à moins de 10 €, il n’y a pas besoin de dépenser beaucoup plus pour acquérir un premier prix chez un leader du marché et ainsi obtenir un confort de frappe déjà satisfaisant.

On se rend compte que le marché est inondé de références conçues pour les joueurs.

Cependant il ne faut pas avoir peur de s’en procurer un même si on ne lance jamais le moindre jeu vidéo !

Dans un clavier pour joueur, on trouve quelques fonctions techniques spécifiques comme un temps de réaction des touches réduit ou encore un nombre de touches appuyables simultanément plus important dont vous n’aurez peut être pas l’usage.

A côté de ça, ils sont généralement accompagné d’un logiciel complet qui offre de multiples réglages et, par exemple, la possibilité de réattribuer certaines touches ou encore la création de macro pour automatiser certaines tâches, ce qui est aussi utile dans Photoshop ou Excel que dans un jeu !

Enfin, le clavier gamer c’est un look, et notamment un rétroéclairage RGB devenu quasiment systématique.

Ce dernier est un bon complément si vous avez opté pour des composants éclairés au sein de l’unité centrale ; ne craignez pas, comme le suggèrent certaines photos, de tomber sur un rétroéclairage psychédélique, libre à vous de tout passer en blanc sobre, ce qui renforce nettement la lisibilité des touches si vous aimez utiliser votre PC dans la pénombre.

On termine par un dernier critère d’importance, le type de touches.

Les claviers bon marchés sont dits à membrane, par opposition aux claviers plus onéreux qui sont le plus souvent de type mécanique.

Il s’agit du système d’activation de chaque touche lorsque vous pressez celle-ci. Les claviers mécaniques, qui n’ont rien de nouveau puisqu’il y en avait déjà dans les années 70 et 80, sont revenus à la mode depuis quelques années.

Ils sont globalement plus robustes, mais c’est un critère peu important selon nous, tant un bon clavier à membrane est déjà capable de tenir des années.

En revanche le confort de frappe est à prendre en compte, et là, c’est avant tout une histoire de goûts.

Sachez qu’il existe plusieurs types de switchs mécaniques.

  • Certains plus ou moins durs à enfoncer
  • Certains avec un retour tactile ou non quand on arrive en bout de course,
  • D’autres plus ou moins bruyants.
Souris G300s

Les souris

Comme le clavier, la souris est un périphérique clé qu’on manipule à longueur de temps et pour lequel il serait dommage de souffrir constamment d’un modèle peu agréable à utiliser.

Heureusement, une souris de qualité ne coûte pas forcément cher, qu’elle soit avec ou sans fil, il suffit d’opter pour une marque reconnue plutôt que de se risquer ces constructeurs sans nom qui ne font économiser qu’une poignée d’euros.

Y’a-t-il des critères de choix pour une souris ? Et bien oui, plus qu’on ne pourrait l’imaginer.

A commencer par la “compatibilité” pour les gauchers, car la majorité de la production est conçue pour les droitiers.

Ces dernières adoptes des formes ergonomiques complexes pour améliorer le confort et la prise en main, mais elles sont du coup anti-ergonomiques pour les gauchers.

En restant sur l’ergonomie, il y a aussi le critère de la taille.

Certains aiment leur souris plus grosses, pour poser la main dessus tandis que d’autres se contentent de la tenir par le bout des doigts et sont à l’aise avec des souris même petites. C’est une question de goûts, d’habitudes. Pareil pour le poids.

N’ayez pas peur de vous en procurer une, même si votre activité favorite sur PC s’appelle Excel ou Photoshop. Ces modèles ont généralement des caractéristiques accrues et un logiciel complet. Ainsi, vous aurez des boutons supplémentaires et ceux-ci seront entièrement programmables pour vous faire gagner en productivité (ou en efficacité dans les jeux).

Il est même possible que le rôle des boutons change automatiquement selon l’application que vous exécutez.

Les souris gamer disposent également des meilleurs capteurs, même s’il y a d’ailleurs beaucoup d’exagération marketing à ce sujet. Personne ne règle sa souris à plus de 5 ou 6000 dpi, même les joueurs professionnels, les capteurs modernes des souris haut de gamme à 16 000 dpi n’ont donc pas beaucoup de sens.

Les souris gamers sont aussi plus robustes, leurs switchs (sous les boutons) sont conçus pour tenir plusieurs millions de clics par exemple. Enfin certains ajoutent un éclairage RGB qui pourra vous séduire.

Un petit mot au sujet des souris sans fil. En optant pour une bonne marque, il n’y a rien à redire en ce qui concerne la performance. Il n’y a pas de coupure, ca fonctionne vraiment bien, n’hésitez pas.

En revanche, en ce qui concerne l’autonomie, il y a de gros écarts. Les petites souris sans fil, principalement celles conçus pour les laptops, ont une ou deux piles qui tiennent plusieurs mois.

Cependant les souris sans fil pour joueurs, qui envoient le positionnement de la souris à une fréquence bien plus élevée pour améliorer la précision (même s’il est difficile de s’en rendre compte), ne tiennent que quelques journées tout au plus, mais elles ont des batteries rechargeables en branchant un cordon USB.

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